- Mark Zuckerberg, le patron de Meta, souhaite rattraper son retard dans la course à l’intelligence artificielle.
- L’ingénieur Andrew Tulloch, déjà passé par le géant de la tech, a refusé l’offre pour se concentrer sur son entreprise.
C’est une offre complètement folle, mais qui a été refusée. Selon un article du site américain The Wall Street Journal, l’ingénieur australien Andrew Tulloch vient de décliner un salaire d’un milliard de dollars par an pour réintégrer les rangs de l’entreprise Meta, dirigée par Mark Zuckerberg. Il faut dire que cet ingénieur, passé par OpenAI, la maison mère de ChatGPT, vient de créer son entreprise dédiée à l’intelligence artificielle, baptisée Thinking Machines Lab, et ne souhaite pas la quitter.
Ces offres colossales pour débaucher des personnes de leur entreprise ne sont pas nouvelles. En effet, il y a quelques semaines, des experts disaient que chez Meta, « il y avait eu des propositions de salaire autour de 100 millions de dollars par an »
, explique la journaliste économique pour LCI, Catherine André.
Parallèlement, dans sa course à l’intelligence artificielle, Mark Zuckerberg aurait tenté de débaucher plus de 100 salariés d’OpenAI. Il aurait seulement réussi à en recruter une dizaine à ce jour. Le créateur de Facebook tente de rattraper son retard en termes d’IA avec ses concurrents. Ce refus de ce type de contrat à un milliard de dollars est un signe d’une évolution de taille dans ce secteur.