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La BCE arrête de baisser ses taux : une mauvaise nouvelle pour les futurs achats immobiliers ?

Espace PressePar Espace Pressejuillet 24, 2025
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  • La Banque centrale européenne a mis fin ce jeudi à une série de baisses de ses taux en vigueur depuis un an.
  • Le coût du crédit va donc cesser de diminuer… mais cela ne change pas forcément la donne pour les futurs crédits immobiliers ou renégociations.
  • Explications.

À première vue, cela ne ressemble pas franchement à une bonne nouvelle. Après une série ininterrompue depuis un an, la Banque centrale européenne (BCE) a mis fin ce jeudi 24 juillet à la baisse de ses taux d’intérêt. Après un pic à 4% en pleine vague inflationniste, le taux de dépôt (qui fait référence) reste stabilisé à 2% : un crédit qui coûte de moins en moins cher, c’est donc terminé.

Cette décision pourrait être vue comme un coup dur pour le marché immobilier… mais le ciel est déjà trop gris. Malgré une baisse continue des taux de la BCE depuis un an, les crédits immobiliers français, eux, stagnent. Voire repartent à la hausse. D’après des données de l’Observatoire Crédit Logement/CSA, le taux moyen lors d’un emprunt en France était de 3,07% mi-juillet. Soit presque le même que quatre mois plus tôt (3,09%), malgré des baisses de la BCE.

Tant que le taux d’emprunt de l’État ne baisse pas, les taux des crédits immobiliers vont rester stables

Pierre Chapon, cofondateur du courtier en crédit immobilier Pretto

Outre le taux de la Banque centrale européenne, un autre indicateur entre en compte pour comprendre les taux pratiqués par les banques. Et il n’est pas forcément réjouissant : les Obligations assimilables au trésor (OAT), c’est-à-dire le taux auquel la France emprunte à dix ans sur les marchés. Il s’élève depuis l’automne 2023 entre 3,2% et 3,5%, du jamais-vu depuis 2011. « Pour obtenir un prêt à un taux de 3%, la logique financière voudrait que les OAT soient à 2,5%, voire un peu en dessous », expliquait ces derniers mois Maël Bernier, porte-parole de Meilleurtaux.com, auprès de TF1info.

Or, les perspectives économiques ne plaident pas en faveur d’une baisse des OAT : les menaces de droits de douane de Donald Trump perdurent, les conflits internationaux demeurent, mais surtout l’instabilité politique de la France couplée à des comptes publics dans le rouge continue… « Tant que le taux d’emprunt de l’État ne baisse pas, les taux des crédits immobiliers vont rester stables », analyse auprès de TF1info Pierre Chapon, cofondateur du courtier en crédit immobilier Pretto. « Les seules baisses des taux de crédits survenues en 2025 se sont déroulées uniquement en raison de l’intensification de la concurrence entre les banques. »

Mais cette concurrence s’est « normalisée » au fil des mois, note l’expert, pour qui seule une baisse du taux des OAT pourra permettre de détendre les crédits immobiliers. Il faudrait pour cela que les investisseurs retrouvent confiance en la France et sa capacité à diminuer le déficit public. « Il y a beaucoup d’incertitudes sur le devenir des taux d’État français », poursuit Pierre Chapon. « D’ici à la fin de l’année, nous devrions être dans un statu quo. »

Les futurs crédits immobiliers dépendants du budget ?

L’avenir du taux des crédits immobiliers pourrait finalement se jouer du côté de Matignon et de Bercy, qui préparent le budget 2026, et de l’Assemblée nationale, qui pourrait refuser le budget et faire tomber le gouvernement. « La stabilité politique va déterminer le devenir des crédits immobiliers », affirme Pierre Chapon. Si l’objectif de déficit affiché par le gouvernement est tenu (4,6% en 2026) – avec les mesures déjà annoncées, ou d’autres – « il pourrait y avoir de la place pour que les taux baissent un petit peu », prévoit-il. « À l’inverse, si le gouvernement est renversé et qu’un nouveau arrive avec des intentions budgétaires plus laxistes, la confiance des marchés pourrait diminuer et les taux pourraient grimper. »

C’est cette deuxième hypothèse que d’autres spécialistes du secteur immobiliers anticipent. « L’environnement macroéconomique va accompagner une remontée des taux des crédits immobiliers » en 2026, prévenait ces derniers jours Michel Mouillart, professeur d’économie chargé de la présentation de l’Observatoire Crédit Logement/CSA. Lui prédit une moyenne de taux à 3,4% en fin d’année prochaine. Et ce, même si la BCE reprend sa baisse des taux dans les prochains mois…


Idèr NABILI

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