Close Menu
Le Méridien
  • Actualités
  • Monde
  • Politique
  • Police
  • Société
  • Education
  • Entreprise
  • Justice
  • Culture
  • Sciences et Tech
  • Plus
    • Environnement
    • Communiqué de Presse
    • Les Tendances
What's Hot

Emmanuel Macron et Keir Starmer souhaitent « intensifier les actions » contre l’économie de guerre russe

juillet 11, 2025

Bataille navale : immersion avec la Marine française

juillet 11, 2025

Frappés par le réchauffement, des cours d’eau « quasiment inhabitables » pour certaines espèces

juillet 11, 2025
Facebook X (Twitter) Instagram
Facebook X (Twitter) Instagram YouTube
Se Connecter
juillet 11, 2025
Le Méridien
Histoires Web Bulletin
  • Actualités
  • Monde
  • Politique
  • Police
  • Société
  • Education
  • Entreprise
  • Justice
  • Culture
  • Sciences et Tech
  • Plus
    • Environnement
    • Communiqué de Presse
    • Les Tendances
Le Méridien
Home»Actualités
Actualités

Les filles de Boualem Sansal en appellent à Emmanuel Macron, en pleine crise ouverte entre Paris et Alger

Espace PressePar Espace Presseavril 16, 2025
Facebook Twitter WhatsApp Copy Link Pinterest LinkedIn Tumblr Email Telegram

Nawal et Sabeha Sansal, les deux filles de Boualem Sansal, ont appelé ce mardi le président de la République à obtenir la libération de l’écrivain franco-algérien.
Boualem Sansal a été condamné fin mars à cinq ans de prison ferme.
« Notre père reste là, otage d’un contentieux qui ne le concerne pas », ont déploré les deux femmes.

Suivez la couverture complète

Après un réchauffement, le ton remonte d’un cran entre Paris et Alger

Elles étaient restées jusque là discrètes. Mais ce mardi 15 avril, les deux filles de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal (nouvelle fenêtre), condamné à cinq ans de prison ferme en Algérie, ont décidé de prendre la parole dans une lettre adressée à Emmanuel Macron et publiée dans Le Figaro (nouvelle fenêtre). Nawal et Sabeha Sansal ont appelé le président de la République à obtenir la libération de leur père au plus vite.

Un cri du cœur qui survient alors que le ton est monté une nouvelle fois ce lundi entre Paris et Alger, après l’expulsion de douze fonctionnaires français décidée par l’Algérie (nouvelle fenêtre), suivie du renvoi de douze agents algériens (nouvelle fenêtre) ordonné ce mardi par la France en guise de riposte. 

Un « dernier élan d’espoir »

« Après cinq mois à espérer, à attendre, à croire encore en la lumière de la justice, nous nous sentons aujourd’hui obligées, en tant que filles (…) de nous adresser à vous », écrivent ainsi Nawal et Sabeha Sansal à Emmanuel Macron, qualifiant cette demande de « dernier élan d’espoir ». « Nous avions espéré, jusqu’au bout, qu’une grâce, même discrète, viendrait rétablir l’équilibre des choses. Nous avions cru que le président algérien, conscient de la situation humaine et sanitaire de notre père, entendrait cet appel. Mais il n’en est rien », regrettent les filles de l’écrivain de 80 ans.

Notre père n’a plus beaucoup de forces

Nawal et Sabeha Sansal

« Notre père, Boualem Sansal, a 80 ans. Il est malade. Il est écrivain. Et il est enfermé, soulignent-elles dans leur tribune. Non pas pour un crime, non pas pour une faute, mais pour ce que toute démocratie devrait chérir : ses mots, ses pensées, sa liberté ». Incarcéré en Algérie depuis la mi-novembre, Boualem Sansal a été condamné le 27 mars à cinq ans de prison, notamment pour atteinte à l’intégrité du territoire pour des déclarations en octobre au média français d’extrême droite Frontières où il estimait que l’Algérie avait hérité sous la colonisation française de territoires appartenant jusque-là au Maroc. Il a fait appel de sa condamnation.

Boualem Sansal « n’a plus beaucoup de forces »

À mesure que « les tensions entre la France et l’Algérie s’enlacent dans des jeux diplomatiques qui nous échappent, notre père reste là, otage d’un contentieux qui ne le concerne pas », fustigent les deux femmes, qui ajoutent : « Notre père n’a plus beaucoup de forces, mais il garde au fond des yeux cette étincelle qui, malgré tout, continue de croire en la beauté du geste politique. Nous vous demandons, Monsieur le président, de faire ce geste. »

« J’ai entendu l’appel de ses deux filles », a réagi mardi soir le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot sur le plateau de TF1. « Et je veux les rassurer. Nous ne lâcherons pas nos efforts tant qu’il n’aura pas été libéré », a assuré le ministre des Affaires étrangères, pour qui « Boualem Sansal ne doit en aucun cas faire les frais des tensions entre nos deux gouvernements ». Le 11 avril, Emmanuel Macron se disait « confiant » dans la libération de l’écrivain.


Noémie KOSKAS avec AFP

Partager Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Telegram WhatsApp Email

Articles Liés

Emmanuel Macron et Keir Starmer souhaitent « intensifier les actions » contre l’économie de guerre russe

Actualités juillet 11, 2025

Bataille navale : immersion avec la Marine française

Actualités juillet 11, 2025

A Srebrenica, trente ans après le génocide, le « cercle vicieux » du déni

Actualités juillet 11, 2025

Le JT de 20 heures de TF1 du jeudi 10 juillet 2025

Actualités juillet 11, 2025

Nigeria : l’armée tend une embuscade à un gang, une centaine de membres tués

Actualités juillet 11, 2025

Cette étude récente révèle que le niveau de vie des couples influe sur le risque de séparation

Actualités juillet 11, 2025

En Argentine, l’ancien président Alberto Fernandez renvoyé en procès pour malversations pendant son mandat

Actualités juillet 11, 2025

Manifestation contre la réforme des retraites : 3 policiers de la Brav-M condamnés pour violences et menaces

Actualités juillet 11, 2025

Les ailes du Moulin-Rouge tournent à nouveau, quatorze mois après leur chute accidentelle

Actualités juillet 11, 2025

Actualité à la Une

Bataille navale : immersion avec la Marine française

juillet 11, 2025

Frappés par le réchauffement, des cours d’eau « quasiment inhabitables » pour certaines espèces

juillet 11, 2025

Photo : nos huit expositions préférées aux Rencontres d’Arles

juillet 11, 2025

Choix de l'éditeur

Marcel Pagnol, le château de sa mère, le petit-fils et la mairie de Marseille

juillet 11, 2025

« Le succès de la Fête de la musique a lancé un débat biaisé entre un Paris vivant et progressiste et une ville embaumée et réac »

juillet 11, 2025

En Ukraine, le perroquet Conor et le fantôme du soldat Anton

juillet 11, 2025

A Srebrenica, trente ans après le génocide, le « cercle vicieux » du déni

juillet 11, 2025

Le JT de 20 heures de TF1 du jeudi 10 juillet 2025

juillet 11, 2025
Facebook X (Twitter) Pinterest TikTok Instagram
2025 © Le Méridien. Tous droits réservés.
  • Politique de Confidentialité
  • Termes et Conditions
  • Contacter

Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

Sign In or Register

Welcome Back!

Login to your account below.

Lost password?