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L’Iran et les Européens discutent du nucléaire, en Turquie, une première depuis l’attaque israélienne

Espace PressePar Espace Pressejuillet 25, 2025
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Une délégation iranienne retrouve, vendredi 25 juillet à Istanbul, des émissaires français, britanniques et allemands pour reprendre les pourparlers sur le programme nucléaire iranien. Des discussions qui interviennent à l’heure où les trois puissances européennes menacent de rétablir les sanctions contre Téhéran.

Cette réunion, qui devrait se poursuivre jusqu’à 12 h 30 locales (11 h 30 à Paris) selon la télévision iranienne, est la première depuis l’attaque israélienne à la mi-juin contre des sites nucléaires et militaires-clés et une guerre de douze jours. Les Etats-Unis se sont joints à l’offensive de leur allié israélien en frappant trois sites nucléaires dans la nuit du 21 au 22 juin.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Comment Israël a traqué et assassiné les scientifiques du programme nucléaire iranien

La France, le Royaume-Uni et l’Allemagne sont, avec les Etats-Unis, la Chine et la Russie, membres d’un accord sur le nucléaire conclu avec l’Iran en 2015 qui prévoyait d’importantes restrictions au programme nucléaire iranien en échange d’une levée progressive des sanctions de l’ONU. Mais, en 2018, les Etats-Unis se sont retirés unilatéralement de ce texte et ont réimposé leurs sanctions lors du premier mandat de Donald Trump (2017-2021).

Paris, Londres et Berlin avaient assuré leur attachement à l’accord de 2015, disant vouloir poursuivre les échanges commerciaux avec l’Iran. Les sanctions onusiennes et européennes n’ont donc pas été rétablies. Ils accusent toutefois Téhéran de ne pas avoir respecté ses engagements et menacent de rétablir des sanctions en vertu d’une clause prévue par l’accord qui expire en octobre, ce que l’Iran cherche à éviter à tout prix.

Possible retour des sanctions

Téhéran a affirmé vendredi que la réunion prévue dans la journée avec les trois pays européens à Istanbul représentait une occasion pour l’Europe de « corriger » sa position sur le programme nucléaire iranien. Vendredi matin, le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Esmaeil Baghaei, a estimé que la rencontre en Turquie constituait « un test de réalisme pour les Européens et une occasion précieuse de corriger leurs points de vue sur la question nucléaire iranienne », selon l’agence de presse officielle IRNA.

Une source européenne a affirmé que « l’inaction des E3 (Allemagne, France, Royaume-Uni) n’est pas une option » face à l’Iran, prévenant que Téhéran sera informé lors de la réunion que la fenêtre pour un retour à la normale se refermerait à l’automne. Les Européens se préparent à déclencher le mécanisme de rétablissement des sanctions « en l’absence de solution négociée », a-t-elle ajouté, appelant l’Iran à reprendre sa coopération avec l’Agence internationale de l’énergie nucléaire (AIEA).

Le vice-ministre des affaires étrangères iranien, Kazem Gharibabadi, qui doit participer aux pourparlers d’Istanbul, a qualifié mardi de « totalement illégal » un recours à ce mécanisme dit « snapback », affirmant que les puissances européennes avaient « mis fin à leurs engagements » après le retrait des Etats-Unis de l’accord en 2018. « Nous les avons avertis des risques, mais nous cherchons toujours un terrain d’entente », a ajouté M. Gharibabadi.

Lire aussi | Où en est le programme nucléaire iranien ?

Téhéran a menacé de se retirer du traité de non-prolifération nucléaire (TNP), qui garantit l’usage pacifique de l’énergie atomique, si les sanctions de l’ONU sont réimposées. L’Iran veut cependant éviter un tel scénario, qui accentuerait son isolement international et la pression sur son économie déjà fragilisée.

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Il estime toutefois que l’AIEA a une part de responsabilité dans le déclenchement des frappes israéliennes et américaines et a officiellement suspendu toute coopération avec elle début juillet.

L’Iran déterminé à poursuivre son programme nucléaire

Cette décision a provoqué la colère d’Israël qui a appelé les trois pays européens à « rétablir toutes les sanctions contre l’Iran ». Après la guerre, l’Iran a réaffirmé qu’il ne renoncerait pas à son programme nucléaire, qualifié par le ministre des affaires étrangères, Abbas Araghtchi, de « fierté nationale ». « Il était important qu’ils [les Européens] sachent que les positions de l’Iran demeurent inébranlables et que nous poursuivrons l’enrichissement [de l’uranium Iranien] », a encore souligné M. Araghtchi, jeudi.

Les inspecteurs de l’AIEA ont depuis quitté le pays, mais une équipe technique devrait revenir prochainement après que l’Iran a déclaré que la future coopération prendrait une « nouvelle forme ». M. Araghtchi a souligné que l’enrichissement était actuellement « à l’arrêt » en raison des dommages « graves et sévères » causés aux installations nucléaires par les frappes américaines et israéliennes.

Les Etats-Unis et l’Iran restent profondément divisés sur la question de l’enrichissement de l’uranium : Téhéran le considère comme un droit « non négociable » afin de développer un programme nucléaire civil, tandis que Washington y voit une « ligne rouge ».

Selon l’AIEA, l’Iran est l’unique pays non doté de l’arme nucléaire à enrichir de l’uranium à un niveau élevé (60 %), bien au-delà de la limite de 3,67 % fixée par l’accord international conclu en 2015 avec les grandes puissances. Pour fabriquer une bombe, l’enrichissement doit être poussé jusqu’à 90 %.

Voir aussi | Article réservé à nos abonnés Israël-Iran : quelle est l’ampleur du coup porté au programme nucléaire iranien ?

Le Monde avec AFP

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