Close Menu
Le Méridien
  • Actualités
  • Monde
  • Politique
  • Police
  • Société
  • Education
  • Entreprise
  • Justice
  • Culture
  • Sciences et Tech
  • Plus
    • Environnement
    • Communiqué de Presse
    • Les Tendances
What's Hot

les dernières informations sur les frappes russes

juillet 12, 2025

« Ça peut être catastrophique » : en Lozère, la rave-party fait craindre des départs d’incendie

juillet 12, 2025

Le gouvernement Trump met fin aux poursuites contre un médecin accusé d’avoir détruit des vaccins

juillet 12, 2025
Facebook X (Twitter) Instagram
Facebook X (Twitter) Instagram YouTube
Se Connecter
juillet 12, 2025
Le Méridien
Histoires Web Bulletin
  • Actualités
  • Monde
  • Politique
  • Police
  • Société
  • Education
  • Entreprise
  • Justice
  • Culture
  • Sciences et Tech
  • Plus
    • Environnement
    • Communiqué de Presse
    • Les Tendances
Le Méridien
Home»Société
Société

« “Mon soutien psy” ne répond pas à une exigence de qualité des soins, mais à une logique économique »

Espace PressePar Espace Pressejuin 5, 2025
Facebook Twitter WhatsApp Copy Link Pinterest LinkedIn Tumblr Email Telegram

Depuis plusieurs années, le service public de psychiatrie en France se dégrade inexorablement : baisse des effectifs, fermetures de structures, diminution du nombre de lits, alors même que tous les indicateurs signalent une évolution inquiétante de la santé mentale des Français.

Dans ce contexte préoccupant, Emmanuel Macron a annoncé en 2021 le lancement du dispositif Mon soutien psy qui promet un accès facilité aux soins psychologiques, en vertu du remboursement d’un nombre limité de séances auprès de psychologues conventionnés, pour les personnes souffrant de troubles psychiques légers à modérés. L’objectif affiché : désengorger les centres médico-psychologiques (CMP), renforcer la prévention, éviter les hospitalisations, tout en précisant la place des psychologues à l’intérieur d’un parcours de soins mieux coordonné.

L’intention à l’origine de ce dispositif était louable, mais la réalité de sa mise en œuvre est cependant jugée décevante, comme l’a lui-même reconnu le président lors de son interview télévisée consacrée aux « défis de la France », le 13 mai. Le premier rapport évaluant le dispositif, remis au Parlement le 27 mars, soulève en effet de nombreuses interrogations.

Lire aussi le décryptage | Article réservé à nos abonnés La santé mentale érigée en « grande cause », alors que le système de soins est débordé

Si le taux de recours au dispositif atteste bel et bien d’un criant besoin de soins (près de 600 000 Français en ont déjà bénéficié), la faible adhésion et le taux d’abandon anormalement élevé font craindre des prises en charge inadaptées. On ne saurait considérer comme une réussite le fait que seul un quart des patients atteigne la huitième séance sur les douze prévues – la moyenne s’établit à 4,8 séances par patient.

Faut-il réellement y voir, comme l’a récemment suggéré le ministre de la santé, Yannick Neuder, un signe d’efficacité du dispositif, alors que la littérature scientifique montre que l’interruption prématurée d’une psychothérapie est le plus souvent un marqueur d’échec, et qu’une amélioration cliniquement significative exige bien souvent plusieurs dizaines de séances ? Et que vaut, en regard des quelque 50 000 patients n’étant pas retournés voir leur psychologue après une première consultation, l’avis globalement satisfait récolté par une enquête de l’institut BVA auprès de… dix patients, selon une méthodologie consistant à relayer l’enquête vers les patients adhérents, mais non ceux ayant quitté le dispositif ?

Il vous reste 64.76% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Partager Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Telegram WhatsApp Email

Articles Liés

En Lozère, une rave-party illégale réunit jusqu’à 9 000 participants

Société juillet 12, 2025

Dans le Nord, une enquête préliminaire ouverte après la mort d’un migrant syrien en mars 2024

Société juillet 12, 2025

En Essonne, le plus grand temple bouddhiste de France, en partie détruit par un incendie

Société juillet 12, 2025

« Entre les Etats-Unis et l’Europe, le fossé idéologique et juridique se creuse »

Société juillet 12, 2025

Le prestigieux lycée Henri-IV secoué par des plaintes, des accusations anonymes et une contestation du management

Société juillet 11, 2025

L’éternel match culinaire entre la France et l’Italie

Société juillet 11, 2025

Le maire de Triel-sur-Seine, dans les Yvelines, met en place un couvre-feu pour les mineurs à cause d’« une recrudescence d’actes d’incivilités »

Société juillet 11, 2025

14-Juillet : « Aucun élément d’inquiétude majeure » avant la fête nationale et la finale PSG-Chelsea, selon la procureure de Paris

Société juillet 11, 2025

Une ancienne compagne de Cédric Jubillar affirme que ce dernier lui aurait avoué le meurtre de sa femme Delphine

Société juillet 11, 2025

Actualité à la Une

« Ça peut être catastrophique » : en Lozère, la rave-party fait craindre des départs d’incendie

juillet 12, 2025

Le gouvernement Trump met fin aux poursuites contre un médecin accusé d’avoir détruit des vaccins

juillet 12, 2025

Lozère : mort d’une femme de 25 ans qui tentait de se rendre à la rave-party

juillet 12, 2025

Choix de l'éditeur

Tour de France 2025 : le résumé de la huitième étape, remportée par Jonathan Milan

juillet 12, 2025

Partez à la découverte du Larzac à pied grâce à ce GR®

juillet 12, 2025

Départs en vacances : un pic de plus de 1 000 kilomètres de bouchons enregistré samedi

juillet 12, 2025

Iga Swiatek assomme Amanda Anisimova et gagne son premier Wimbledon

juillet 12, 2025

Tomates farcies : ces variétés à privilégier pour un plat réussi

juillet 12, 2025
Facebook X (Twitter) Pinterest TikTok Instagram
2025 © Le Méridien. Tous droits réservés.
  • Politique de Confidentialité
  • Termes et Conditions
  • Contacter

Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

Sign In or Register

Welcome Back!

Login to your account below.

Lost password?