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Mouvement du 10 septembre : « L’instabilité politique laisse entrevoir une crise plus profonde qu’un ras-le-bol classique »

Espace PressePar Espace Presseseptembre 11, 2025
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Entre 175 000 (gouvernement) et 250 000 (CGT) participants, 812 actions dont 550 rassemblements et 262 blocages ; 540 interpellations et 415 gardes à vue… Au-delà des chiffres, que retenir des mobilisations du 10 septembre ? Nos journalistes, présents sur le terrain, ont répondu aux questions lors d’un tchat, jeudi 11 septembre.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Mouvement du 10 septembre : la revendication du départ d’Emmanuel Macron, point de liaison des manifestations

Guerre des chiffres : Vous annoncez systématiquement le nombre de participants communiqué par le ministère de l’intérieur (175 000) mais pas toujours ceux avancés par la CGT (250 000) ou La France insoumise (500 000). Pourtant, nombreux sont les témoignages de manifestants soulignant que les décomptes des préfectures étaient en deçà de la réalité, d’autant que les préfets peuvent ne pas être plus impartiaux que la CGT ou La France insoumise quand il s’agit d’un décompte. Quel a été la sensation de vos journalistes de terrain quant au nombre de participants ?

Aline Leclerc et Emeline Cazi : Le décompte des manifestants est déjà compliqué et discuté lorsqu’il s’agit de cortèges traditionnels, d’un point A à un point B, c’est encore plus difficile quand il s’agit de rassemblements épars et spontanés, comme hier ou lors de la première mobilisation des « gilets jaunes ».

A l’aube hier matin à Paris, il y avait au même moment des manifestants porte de Montreuil (disons peut-être 500 personnes, mais cela n’a rien de scientifique), porte de la Chapelle, porte d’Ivry, porte d’Italie, devant le lycée Hélène-Boucher (20e arrondissement), mais aussi devant d’autres établissements, et dans plusieurs dépôts de la RATP. Impossible pour nous d’être partout pour compter.

Ce qu’on peut dire, c’est qu’il ne s’est pas rien passé, et qu’il y a bien eu une multitude de points de rassemblement sur le territoire, dans des petites villes comme dans les métropoles, sans pour autant que l’on soit dans une mobilisation historique en nombre. Mais pour un mouvement aussi peu organisé, au tout début de septembre, un mercredi, ce n’est pas du tout anecdotique.

Max : Est-ce que le mouvement prend forme comme les « gilets jaunes » et a vocation à être poursuivi ?

Aline Leclerc : A notre connaissance, à cette heure, il n’y a pas de lieux symboliques restés bloqués ou occupés. Il y a, en revanche, un certain nombre d’appels à des réunions, assemblées générales, etc., pour « préparer la suite », avec en ligne de mire, tout de même, le fait qu’il y a, la semaine prochaine, un appel à la mobilisation lancé par l’ensemble des syndicats, dans tous les secteurs, le 18.

Sofia Fischer (Nice, correspondance) : A quelques exceptions près : dans le Var, par exemple, nous avons pu constater le retour des « gilets jaunes » sur certains ronds-points symboliques, avec la reconstruction d’infrastructures qui permettent de s’installer dans la durée (tables en palettes, coin pour manger, etc.). L’intention, pour l’instant, est de recréer une présence sur certains axes routiers. La reconstitution de fils de communication, notamment sur Telegram, participe aussi à cet effort d’organisation pour faire durer le mouvement.

VousDevezBienPenserQqch : En tant que journalistes est-ce que ça vous interroge qu’autant de forces de l’ordre aient été déployées alors que le mouvement n’avait même pas commencé ? L’utilisation massive des drones (parfois retoquée par les tribunaux administratifs) ?

Sofia Fischer, Arthur Carpentier, Jonathan Parienté, Emeline Cazi et Aline Leclerc : Pour ceux qui ont suivi les mouvements à Paris, nous partageons tous le constat que les forces de l’ordre sont intervenues très vite et très fort pour débloquer les dépôts de bus ou les portes du périphérique.

A la gare du Nord, où devait se tenir une assemblée générale à 11 heures, les forces de l’ordre ont tout fait pour que le moins de manifestants possible puissent accéder au bâtiment, voire à ses abords. Le ministre des transports avait été très clair : il fallait à tout prix éviter qu’une situation « s’enkyste » (ce sont ses mots) et qu’un tel lieu névralgique pour les transports soit un point de fixation et de blocage tenu par le mouvement. Autre exemple, à Nice, la situation s’est aussi tendue aux abords de la gare, lorsque les manifestants ont tenté de forcer le passage. Elle a été barricadée plus de deux heures pour éviter que des personnes l’occupent. Les voyageurs sont restés sur le parvis jusqu’à la fin de la manifestation et les trains sont partis avec parfois plus de trois heures de retard.

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Quant à l’utilisation des drones, elle s’est effectivement généralisée, même sur des barrages filtrants périphériques en zone rurale où se trouvaient quelques dizaines de personnes. Interrogées sur le terrain, les forces de l’ordre expliquent qu’il s’agit désormais du « protocole ». Il n’est pas aisé de dénombrer avec exhaustivité le nombre de drones déployés à travers le pays, mais leur usage a été massif. Pour se faire une idée, il faut compter les arrêtés pris par les préfets pour autoriser leur utilisation par les forces de sécurité.

Blouhblouh : Depuis les « gilets jaunes », les mobilisations semblent s’affranchir des partis et des organisations syndicales : on a l’impression que ces structures rejoignent un mouvement plutôt que de le lancer. Comment les partis et syndicats réagissent en interne à ces changements ?

Aline Leclerc : C’est complexe, je dirais oui et non. On voit comme hier, et comme il y a sept ans avec les « gilets jaunes », qu’il y a une volonté chez certains de sortir des cadres traditionnels et du répertoire classique d’actions.

La première raison invoquée par les manifestants, c’est l’inefficacité des 14 journées de mobilisations éparpillées sur six mois à l’appel de l’intersyndicale contre la réforme des retraites, en 2023. La réforme a finalement été passée avec le recours 49.3. Ils estiment que c’est trop « plan-plan » et que « ça ne fait pas peur au pouvoir ».

Mais, pour autant, ils n’ont pas trouvé comment s’y prendre. Car les mêmes reconnaissent aussi que le mouvement des « gilets jaunes », s’il a réussi à marquer le débat public et à faire prendre en compte par les politiques cette catégorie sociale « invisible » de petites classes moyennes aux fins de mois difficiles, n’est pas parvenu, malgré sa radicalité parfois, et son originalité, à changer la vie de ces mêmes personnes.

Quant aux syndicats, ils savent qu’ils ont un peu « loupé le coche » avec les « gilets jaunes », dont ils partageaient finalement nombre de revendications de « justice sociale ». Donc ils ne veulent plus se tenir trop à distance de ces mouvements citoyens sans pour autant s’y engouffrer.

Les syndicats savent d’une part combien il est difficile de construire une mobilisation solide dans la durée, et croient au pouvoir de la grève comme instrument de « blocage de l’économie ». Pour eux, il faut donc d’abord mobiliser les travailleurs sur leurs lieux de travail, les faire débattre des moyens d’action pour construire ensemble la mobilisation au niveau local. Mais c’est difficile, le mécontentement ne suffit pas à pousser quelqu’un à perdre une journée de salaire pour aller manifester.

RD : Il y avait dans le mouvement des « gilets jaunes » un certain rejet (parfois violent) des journalistes, comment avez-vous été accueillis sur les points de rassemblement ?

Aline Leclerc et Emeline Cazi : Oui, il a souvent fallu beaucoup expliquer notre travail pour convaincre les « gilets jaunes » de nous répondre ou de nous laisser écouter leurs Assemblées générales (AG). Cela a été la même chose lors de certaines AG de préparation du mouvement d’hier, comme nous l’avons raconté la semaine dernière dans nos articles.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés « Qu’êtes-vous prêt à faire pour changer les choses ? » : dans les AG du mouvement Bloquons tout le 10 septembre

Les situations peuvent varier selon les lieux de rassemblement, et selon s’il s’agit d’une assemblée générale dans un lieu fermé, ou d’un rassemblement dans la rue, selon le type de média également ; les journalistes de presse écrite étant moins visibles que nos confrères et consœurs de radio ou de télévision.

Hier, plusieurs personnes, au profil plutôt de militants de gauche, n’ont pas souhaité répondre à nos questions, sans animosité, ils en ont bien le droit. Il a tout de même été facile de trouver des interlocuteurs. De nombreux photographes étaient présents, certains même avec un autocollant ou brassard presse visible ; ils n’ont pas été dérangés dans leur travail.

Julien : Je n’ai pas bien compris la mobilisation d’hier. J’ai l’impression que c’est une simple émanation du mécontentement permanent des gens, et de la détestation normale de ceux qui ont le pouvoir, rien de plus… Est-ce que je me trompe ?

Emeline Cazi : Dans des lieux traditionnellement mobilisés, comme à Montreuil, en Seine-Saint-Denis, beaucoup de personnes présentes sont des militants de gauche (l’éventail de la gauche au grand complet), qui s’opposent au capitalisme, dénoncent le manque de moyens dans l’éducation et l’ensemble des services publics, exigent plus de justice sociale, une hausse des salaires, mais aussi se mobilisent pour Gaza, viennent en aide aux migrants, aux sans-papiers.

Comme dans d’autres lieux de rassemblement, la chute du gouvernement Bayrou n’était pas forcément le sujet, c’était davantage la démission d’Emmanuel Macron et une autre politique qui étaient exigées.

Aline Leclerc : Pour avoir couvert beaucoup de manifestations et de mouvements sociaux ces dernières années, il y a vraiment une très forte colère qui monte autour des enjeux d’injustice sociale, le sentiment qu’on demande toujours des efforts aux mêmes pendant que les dividendes du CAC40 explosent et que toutes les statistiques montrent l’accroissement de la fortune des plus riches.

Sur ce point, le projet de budget de François Bayrou, cet été, est vraiment apparu comme une provocation, avec des mesures très précises touchant tous les travailleurs (la suppression de deux jours fériés ayant vraiment suscité une sidération) et au contraire des mesures encore très floues sur la contribution demandée aux plus riches.

Mais, je l’ai vu dans beaucoup d’entreprises, les salariés encaissent parfois beaucoup de choses avant de soudainement se mettre en grève de façon radicale. C’est souvent une petite mesure anecdotique mais très symbolique qui les fait se mettre en action, l’humiliation de trop. Les deux jours fériés auraient pu jouer ce rôle-là au niveau national.

Sofia Fischer : Les mobilisations partent rarement d’autre chose que d’un mécontentement. Difficile de jauger ce qui est une quantité « normale » de mécontentement, mais l’instabilité politique des dernières semaines laisse entrevoir une crise plus profonde qu’un ras-le-bol classique.

En zone rurale, deux éléments notables racontent quelque chose de ce mouvement. D’abord, la diversité des affiliations politiques des manifestants : sur un même barrage pouvaient se trouver des personnes souverainistes comme des militants LFI. Ensuite, la sympathie des passants et des conducteurs pour les manifestants était frappante.

Lors des premiers samedis de « gilets jaunes » en 2018, par exemple, il était rare de voir autant de soutien de la part de ceux qui n’étaient pas en train de manifester. Hier, certaines personnes coupaient elles-mêmes le moteur de leur véhicule, par exemple, pour arrêter le trafic, beaucoup baissaient la vitre afin de remercier les personnes présentes sur les barrages pour leur mobilisation.

YVAB : On entend à la radio que ce fut une mobilisation de faible ampleur. J’habite à Rennes, et j’avoue avoir été impressionné par le nombre de manifestants dans le centre-ville, pour un mouvement spontané. Qui croire ?

Benjamin Keltz : La mobilisation diverge selon les territoires. Comme vous, j’étais à Rennes hier. La manifestation a mobilisé entre 10 000 et 15 000 personnes. C’est beaucoup pour une ville d’environ 220 000 habitants.

Je couvre régulièrement les mobilisations sociales en Bretagne et à Rennes, un bastion historique de gauche. Une telle affluence n’est pas inédite pour la capitale bretonne, mais reste significative. Signalons que la manifestation s’est déroulée sans heurt et dans une ambiance sereine.

Ça n’a pas été le cas à l’aube lorsque des manifestants, souvent jeunes, usant des méthodes de la mouvance black bloc, ont bloqué la rocade. Un bus a été incendié. J’ai aussi assisté à de nombreux affrontements entre les forces de l’ordre et des centaines de personnes qui enflammaient des barricades dans le centre-ville après la manifestation.

Rennes est habituée aux tensions en marge ou après les manifestations. Celles-ci ont duré très longtemps (quatre heures) et ont plongé le centre-ville dans un brouillard de lacrymogène.

Benoit : En l’absence de mot d’ordre clair, quelles étaient les principales revendications des manifestants ?

Sofia Fischer : Le premier mot d’ordre est toujours le souhait qu’Emmanuel Macron ne termine pas son mandat. Quant aux revendications et griefs, les éléments qui revenaient le plus souvent étaient la hausse des inégalités sociales, l’état du service public, et une certaine déconnexion de la classe politique.

Nous avons aussi entendu beaucoup de personnes parler de leur peur d’une guerre imminente et de l’envoi de troupes françaises, que cela soit en Pologne ou à Gaza. Pour poursuivre sur ce point, il y a eu beaucoup de messages sur le coût de la défense pour les comptes publics – des dépenses qui seraient effectuées aux dépens des droits sociaux.

Michel : Votre point de vue rapporte le mouvement vu de l’intérieur. Pourquoi ne vous intéressez-vous pas à celles et ceux qui subissent les blocages, qui sont, rappelons-le, illégaux, ou des violences ? Pourquoi ne prenez-vous fait et cause que pour les manifestants ?

Emeline Cazi, Sofia Fischer, Benjamin Keltz et Jonathan Parienté : Hier, comme chaque fois d’ailleurs que nous suivons un mouvement social, il s’agissait de relater et de décrypter ce mouvement annoncé depuis la fin du mois d’août, et pour le moins inédit.

Chaque fois, nous essayons de trouver les mots justes, les photos adéquates. Ne pas forcément publier une photo de feu de poubelle, par exemple : même si c’est toujours spectaculaire, cela reflète parfois seulement un court instant de la séquence.

Nous avons aussi constamment échangé entre reporters présents sur le terrain et rédacteurs en chef au journal pour savoir si telle ou telle information ne donnerait pas trop d’effets de sens, dans un sens ou dans l’autre. En revanche, il y a, en France, une colère manifeste, dont ce mouvement est une forme d’expression, qui se doit d’être racontée.

Pour ce qui est des blocages et des tentatives de blocage, nous avons rapporté tous les incidents dont nous avons eu connaissance, en précisant le nombre de manifestants et le temps pendant lequel les établissements ont été bloqués.

C’est ainsi que nous avons parlé des voyageurs malheureusement présents sur le parvis de la gare de Nice et gazés par les forces de l’ordre, ainsi que de l’interruption du trafic ferroviaire. Idem à la gare du Nord, à Paris, où les accès ont été fermés un temps en fin de matinée, alors que la plupart des trains circulaient normalement.

Les faits illégaux de Rennes – le bus brûlé, les barricades dans le centre-ville – ont également été relatés. Il y a toujours ce juste équilibre à trouver dans la narration des violences, et les préoccupations des manifestants qui, souvent, déplorent celles-ci.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Dans le mouvement Bloquons tout le 10 septembre, des réminiscences des « gilets jaunes » mais de vraies différences

Le Monde avec AFP

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