Depuis l’invention du transformateur par le Français Lucien Gaulard, en 1882, et celle de la machine synchrone par l’Américain Nikola Tesla, en 1888, on sait que le courant alternatif – qui change périodiquement de sens – est la meilleure manière d’utiliser et de transporter l’électricité. On a de plus en plus l’impression que le mode alternatif est aussi la caractéristique du développement des énergies renouvelables.
En sortant de l’accord de Paris sur le climat, dès le premier jour de son entrée en fonctions, lundi 20 janvier, le président américain, Donald Trump, a signifié le peu d’intérêt qu’il accorde à ces énergies et l’amour immodéré qu’il porte au pétrole.
Depuis son boom en 2022, l’éolien, notamment dans sa version maritime – la plus prometteuse en matière de puissance –, marque sérieusement le pas, particulièrement au large des côtes américaines. Témoin des déboires du numéro un mondial de la discipline, le danois Orsted. Ce dernier se débat dans les difficultés financières et a dû annoncer, lundi, une nouvelle dépréciation d’actifs de près de 1,6 milliard d’euros sur un chantier près de New York.
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