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Plus il est élevé, moins le vêtement est bon pour la planète : on vous aide à comprendre le nouvel Éco-Score

Espace PressePar Espace Presseseptembre 10, 2025
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  • À partir du 1er octobre, les marques volontaires pourront déployer sur les étiquettes de leurs vêtements un Éco-Score environnemental.
  • Il s’agit d’un score en « points d’impact » calculés sur différents critères.
  • Plus ce chiffre est élevé, plus la pièce a un impact sur la planète, un peu comme un gâteau au nombre élevé de calories.

Suivez la couverture complète

Initiatives environnementales

Un manteau de printemps à 4.670 points d’impact ou une veste mi-saison à 1.529 ? C’est l’exemple pris par Clear Fashion, le « Yuka » de la mode qui depuis quelques années donne un score environnemental à vos vêtements, pour expliquer le nouvel Éco-Score qui sera déployé à partir du 1ᵉʳ octobre sur le textile. Le décret est paru mardi 9 septembre au Journal officiel, dernier acte du gouvernement Bayrou – et de sa ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher – avant sa chute. 

Dans l’exemple de Clear Fashion, le manteau de printemps est issu d’une marque de fast fashion et la veste mi-saison est une veste de la marque Picture, engagée sur le plan environnemental (voir ci-dessous). Car derrière ce chiffre, il s’agit en fait de points d’impact : plus il est élevé, plus l’impact sur la planète est fort. Un peu comme le chiffre des calories sur un paquet de gâteaux.

L’affichage environnemental déployé sur les vêtements – DR

Étiquette, QR code ou site internet

Ce dispositif nécessite toutefois un peu de pédagogie auprès des Français, qui pourraient penser qu’un score élevé est l’équivalent d’une bonne note. Il s’agit pourtant de l’inverse, puisque l’on mesure l’impact. 

Seules les marques et les sites volontaires participent au déploiement de cet Éco-Score : certaines l’ont d’ailleurs déjà fait, d’autres le feront à partir du 1ᵉʳ octobre.

Au départ, le gouvernement voulait rendre ce dispositif obligatoire, mais seule la démarche volontaire a finalement été retenue, notamment par crainte d’un veto de la Commission européenne. Les scores pourront être indiqués sur l’étiquette du vêtement, via un QR code à scanner par le client ou bien disponibles sur le site internet de la marque ou du revendeur.

Une méthode différente de la méthode européenne

Pour élaborer cet Éco-Score, qui s’appelait un temps Ecobalyse, le gouvernement français a retenu une méthode différente de celle utilisée dans l’Union européenne, le PEF (Product environmental footprint), critiqué pour ses limites. 

« Avec le PEF, certains vêtements issus de l’ultra fast fashion étaient mieux noté qu’un t-shirt produit par une marque éthique, explique Marguerite Dorangeon, chez Clear Fashion. Avec le PEF, tout est ramené à l’unité, et donc plus la marque optimise son processus de fabrication, plus elle a une meilleure note. »

Toutefois, l’Union européenne prévoit bel et bien de déployer à terme un affichage environnemental sur les vêtements, et de le rendre obligatoire. La France devra alors revoir sa copie.

Un « coefficient fast fashion »

En attendant, l’Éco-Score français prend en compte différents paramètres pour mesurer l’impact : la consommation d’eau liée à la fabrication de la pièce, les émissions de gaz à effet de serre, la toxicité, mais aussi les possibilités de recyclage ou de réparation du vêtement, le relargage de fibres microplastiques lors du lavage et un coefficient de fast fashion qui prend en compte les volumes de production. 

Ce dernier vise à alourdir le score des vêtements issus des sites d’ultra fast fashion, dont le modèle de production a un lourd impact sur la planète.

Pour davantage de lisibilité et de transparence sur la totalité de la chaîne de production, Clear Fashion suggère aux acteurs de secteur de se saisir également de son propre score, développé depuis plusieurs années, et déjà déployé par une vingtaine de marques textiles.

Celui-ci prend aussi en compte l’impact sanitaire et sociale (conditions dans lesquelles le vêtement a été produit) du textile, deux autres enjeux très forts du secteur. « Il est aussi plus lisible par le consommateur, car il s’agit d’un score sur 100« , explique Marguerite Dorangeon. Il indique par ailleurs, à l’aide d’une couleur, l’impact de la pièce : vert, orange ou rouge. Aux marques de s’en saisir à côté de l’Éco-Score.


Marianne ENAULT

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