Au fil des célébrations qui se sont étalées toute la semaine, le chef spirituel n’a pu éviter le lourd sujet de l’après, alors que la Chine exige de pouvoir approuver le nom de son successeur. Une demande à laquelle le dalaï-lama s’oppose. Il affirme que celui qui lui succédera sera « forcément né dans le monde libre ».
Considéré comme un dangereux séparatiste par Pékin, le dalaï-lama a fui la répression chinoise en 1959. Depuis, il vit en Inde, où il se bat pour la liberté du Tibet.
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