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Too Much », la série de Lena Dunham pour Netflix, rappelle avec force qu’on n’est jamais « trop

Espace PressePar Espace Pressejuillet 10, 2025
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  • La créatrice de « Girls » s’associe aux producteurs de « Love Actually » pour une tendre fiction dont on ignorait avoir tant besoin.
  • Lena Dunham s’inspire de sa propre histoire pour raconter la reconstruction de sa pétillante héroïne, qui choisit de s’installer à Londres après s’être fait plaquer par son petit ami.
  • À binger sans modération dès ce jeudi 10 juillet, ces dix épisodes dissèquent autant les relations amoureuses que la manière dont nos complexes et nos angoisses nous gâchent la vie.

C’est déjà notre série doudou de l’été. Celle vers laquelle on aura envie de se tourner en cas de coup de mou. On n’en attendait pas moins de Lena Dunham qui a secoué le petit monde de la télévision il y a 13 ans avec un petit bijou nommé Girls, le Sex and the City des millenials. Too Much aussi prend racine à New York, où Jessica traîne son désarroi après une vilaine rupture. Son ex vivant désormais avec sa nouvelle compagne dans leur ancien appartement, la trentenaire prend une décision radicale pour changer de décor. Direction Londres où le destin a d’autres plans pour elle. Elle qui avait tiré un trait sur l’amour rencontre à peine arrivée Felix, un musicien fauché, dans un pub.

Une romcom qui parle vrai

Comme pour Girls, Lena Dunham est allée piocher dans son expérience personnelle pour bâtir celle de Jessica. Elle aussi a quitté les États-Unis pour la capitale anglaise après une séparation très médiatisée. Elle aussi a fini par trouver l’amour avec un grand A quand elle s’y attendait le moins avec le musicien britannique Luis Felber. Mais s’arrêter au point de départ autobiographique serait passer à côté du cœur de Too Much. Inspirée par les comédies romantiques cultes nées outre-Manche, de Bridget Jones à Love Actually – dont les producteurs sont aussi eux de sa série -, l’Américaine de 39 ans a voulu raconter les obstacles à surmonter pour faire qu’une relation fonctionne. À commencer par ceux qu’on dresse soi-même.

« Il faut essayer. On ne tombe pas simplement dans les bras l’un de l’autre. Une fois que l’on est ensemble, le plus grand défi à dépasser, c’est soi-même. Et c’est ce que j’ai constaté dans mon cas », dit Lena Dunham à Variety. Jessica est dans la comparaison permanente, avec la nouvelle petite amie de son ex et avec sa relation précédente. Quant à Felix, il est autant tourmenté par son addiction à l’alcool que par sa peur de l’engagement. 

Mais les deux s’attirent comme des aimants, telle une évidence inexplicable. De leurs passés complexes naît le drame, de leurs différences culturelles naît la comédie franche – certains diront trash. À l’époque où les filtres sont légion sur Instagram, Too Much n’en a aucun. La même expression, « trop », est utilisée par Felix pour qualifier Jessica à qui il assure que c’est une bonne chose « d’être trop ». « Juste la bonne quantité et ensuite un peu plus », glisse-t-il.

Adèle Exarchopoulos au générique

Too Much vient justement rappeler avec force qu’on n’est jamais trop. Jamais trop engagé, jamais trop bruyant, jamais trop queer ou jamais trop rond. « Le corps de Jessica n’est pas l’histoire de la série, et ce n’est pas l’histoire de Felix, tout comme ce n’est pas celle de mes relations amoureuses », insiste Lena Dunham qui fait exploser tous les canons hollywoodiens pour rester dans le vrai. 

À l’écriture et à la réalisation de la quasi-intégralité des dix épisodes, elle a su dénicher les interprètes parfaits pour son couple en construction. Brillante en fille à papa dans Hacks (aussi disponible sur Netflix), l’humoriste Megan Stalter se révèle extrêmement attachante face aux galères de Jessica. Si vous aviez aimé le flegme de Will Sharpe dans la saison 2 de The White Lotus, vous adorerez sa mélancolie très émouvante.

Ce détonnant duo mène un casting toujours plus surprenant qui fait sortir Naomi Watts de sa zone de confort, parvient à rendre le génial Andrew Scott très agaçant et offre à Adèle Exarchopoulos un rôle so French dans une production anglo-saxonne. Lena Dunham a elle choisi d’incarner la sœur de Jessica, mère de famille tout juste séparée du père de son fils. La mannequin Emily Ratajkoswki ainsi que les légendes Richard E. Grant, Stephen Fry et Rita Wilson complètent cette distribution qu’on espère bien revoir pour une deuxième saison.

>> Too Much – 10 épisodes de 30 minutes et plus, disponibles sur Netflix


Delphine DE FREITAS

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