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Trump affirme que Zelensky peut arrêter la guerre « presque immédiatement », et exclut une adhésion de Kiev à l’OTAN

Espace PressePar Espace Presseaoût 18, 2025
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L’essentiel de l’intervention d’Emmanuel Macron : « Si nous sommes faibles aujourd’hui avec la Russie, nous préparerons les conflits de demain. »

Emmanuel Macron s’exprime après la réunion de la « coalition des volontaire », au Fort de Bregancon à Bormes-les-Mimosas, le 17 août 2025. PHILIPPE MAGONI / AP

« L’objectif qui est le nôtre [lundi 18 août] est simple. Le premier, c’est de rappeler ce qui unit l’Ukraine, les Européens et les Etats-Unis d’Amérique. Nous voulons la paix, une paix robuste, durable, c’est-à-dire respectueuse du droit international qui est précédé par la restitution des prisonniers, des enfants et qui permet de s’installer dans la durée, c’est-à-dire qui respecte la souveraineté et l’intégrité territoriale de tous les pays. C’est la responsabilité des membres permanents du Conseil de sécurité dont sont les Etats-Unis d’Amérique, le Royaume-Uni et la France. Il n’y a qu’un agresseur, la Russie. Et il n’y a aujourd’hui qu’au fond un Etat qui propose une paix qui serait une capitulation, qui est la Russie. »

« Le deuxième (…), c’est de pouvoir ici rappeler qu’il ne peut pas y avoir de discussion territoriale concernant l’Ukraine sans les responsables légitimes démocratiquement élus de l’Ukraine. Pas de discussion sur l’Ukraine sans les Ukrainiens. Mais de la même manière, pas de discussion sur la sécurité des Européens sans eux. »

« La troisième chose, c’est de faire le lien entre toute question territoriale et les garanties de sécurité. Et c’est tout le travail que nous avons fait ces derniers mois. »

« Tout accord qui reposerait sur l’absence d’une armée ukrainienne, sur la réduction d’une armée ukrainienne serait un accord insincère voué à ne pas être respecté. Parce que ces accords ont déjà existé par le passé, y compris quand la Russie a signé elle-même des accords de non-agression à l’égard de l’Ukraine, ce qu’elle a fait en 1994 avec l’accord de Budapest, elle ne les a pas respectés. Et donc le format de l’armée ukrainienne est le premier pilier de ces garanties de sécurité. Le deuxième, ce sont ces forces de réassurance. »

« Plusieurs Etats sont prêts à le faire, de la formation à la logistique jusqu’à la présence dans des zones non chaudes, c’est-à-dire pas sur la ligne de front, pas dans des territoires contestés, mais d’avoir une présence de forces alliées aux côtés de l’Ukraine. Nous irons présenter cela en demandant aussi aux Etats-Unis d’Amérique jusqu’où et jusqu’à quel point ils sont prêts à se joindre à ces dernières, puisqu’ils se sont mis sur la table des garanties de sécurité et l’ont réaffirmée. Et puis le troisième, c’est comment formaliser cela à l’égard de l’Ukraine. »

« Au fond, notre volonté [lundi 18 août], c’est de présenter un front uni entre Européens et Ukrainiens dans ce moment de règlement du conflit, en réaffirmant qui est du côté de la paix, qui est du côté du droit international, mais surtout comment nous assurer collectivement que l’ordre international est respecté et que notre sécurité à tous est protégée, parce qu’il y va de la sécurité des Européens et de la France. »

« Quand nous parlons de ce qui se passe en Ukraine, nous parlons d’un pouvoir impérialiste et révisionniste qu’est la Russie d’aujourd’hui, qui, depuis 2008, n’a cessé de vouloir conquérir de nouveaux territoires, n’a cessé de revoir les frontières internationales, n’a jamais respecté ses promesses de paix et de non-agression. Et donc si nous sommes faibles aujourd’hui avec la Russie, nous préparerons les conflits de demain, et ils toucheront les Ukrainiens. Et ne nous trompons pas, ils peuvent aussi nous toucher au moment même où notre pays continue d’être de manière régulière attaqué sur le plan cyber, sur le plan de l’information ou dans des espaces contestés du maritime au spatial. Donc pas de faiblesse. »

« Au fond, ce que nous allons dire, nous voulons la paix. Tous ceux qui sont là [lundi 18 août] à Washington sont du côté de la paix depuis le 1er juin. Mais nous voulons une paix robuste, une paix qui en aucun cas ne saurait être une capitulation, une paix qui en aucun cas ne peut se faire au détriment de la sécurité des Européens. »

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